Qui doit-on croire?
En d'autres mots, c'est la parole de l'un contre la parole de l'autre.
Comme si, dans une balance, les déclarations de Jacques Duchesneau et celles d'Antonio Accurso avaient le même poids.
C'est faux.
Si, d'un côté, j'ai le choix entre croire un ex-chef de la police de Montréal, candidat à la chefferie d’Interpol, président de l’ACSTA, directeur de l’Unité anticollusion, député à l'Assemblée nationale, et de l'autre, un entrepreneur qui est sous le coup de près de 1000 accusations de complot, fraude, usage de faux, abus de confiance par un fonctionnaire, fausses déclarations, fausses facturations, crédits illégaux et faux remboursements de taxe, je ne me pose même pas de questions.
Même la juge Charbonneau a exprimé des doutes.
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2014/09/05/003-duchesneau-accurso-financement.shtml
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