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samedi, janvier 23, 2010

«Après les politiciens, c'était au tour des citoyens de manifester? Ah bon!»

Des milliers de personnes manifestent contre la prorogation
http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2010/01/20100123-200552.html

J'ai bien rigolé quand on a rapporté cette nouvelle à LCN, cet après-midi.

L'inimitable Véronyque Tremblay annonce en préambule:
«Après les politiciens, c'était au tour des citoyens de manifester contre la décision du de Stephen Harper de proroger les travaux de la chambre des Communes»

Notez bien: elle précise qu'après le politiciens, c'est au tour des citoyens de manifester.
Et que voit-on dès les premières images du topo?

Tom Mulcair et Gilles Duceppe, bras-dessus, bras-dessous, qui ouvrent la marche.
Cré LCN, va.
Toujours là pour nous dérider.
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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La chronique de Richard Martineau : Les pleutres

LE JOURNAL DE MONTRÉAL/LE JOURNAL DE QUÉBEC
23/01/2010



«Tout est sur la table.» Chaque fois qu'on organise un sommet, un forum, une rencontre ou un 5 à 7 sur l'économie du Québec, on répète toujours cette phrase:

«Tout est sur la table. Aucun sujet n'est tabou, aucune vache sacrée ne sera épargnée, aucune proposition ne sera écartée.»

LE COURAGE DES GENS D'AFFAIRES

Mais dès que quelqu'un ose remettre en question l'existence de la formule Rand ou le vote à main levée dans les assemblées syndicales, oups, une irrépressible et soudaine envie de pisser s'empare des convives et tout le monde se lève pour aller aux toilettes.

Même les patrons et les banquiers font semblant de n'avoir rien entendu.

Ils regardent nerveusement par la fenêtre, pitonnent sur leur Blackberry ou se penchent sous la table pour attacher les lacets de leurs loafers.

Ou alors ils se lèvent d'un trait devant les caméras, et s'époumonent à voix haute pour que tout le monde puisse les entendre:

«Quoi? Remettre en question les privilèges des grands syndicats? Mais, voyons, quelle mouche vous a piqué? Tout va bien, tout le monde s'aime, pourquoi diantre lancer cette idée saugrenue?»

On parle souvent du manque de courage des politiciens. Vous voulez voir des pleutres, vous? Des hypocrites, des visages à deux faces?

Allez faire un tour dans les chambres de commerce.

Vous allez voir: nos hommes et nos femmes d'affaires sont tellement habitués à parler des deux côtés de la bouche, à dire une chose en public et son contraire en privé, qu'ils se bavent dessus quand ils boivent leur scotch.

PORTE OUVERTE À L'INTIMIDATION

Pourtant...

Qu'y a-t-il de si réactionnaire et de si intransigeant à demander aux syndicats d'organiser des votes SECRETS?

Élisons-nous nos représentants à main levée?

Il n'y a qu'une seule et unique raison pour laquelle une organisation refuserait à ses membres de voter dans un isoloir: pour pouvoir les intimider et ainsi, influencer leur vote.

Vous le savez, je le sais, tout le monde le sait. Mais personne ne dit rien. Surtout pas les politiciens.

Comme l'a déjà écrit Michel Kelly-Gagnon, de l'Institut économique de Montréal:

«Les politiciens québécois, indépendamment de leur idéologie officiellement déclarée, font un calcul simple: quand ils déplaisent aux syndicats, ils subissent des manifestations et des dénonciations publiques constantes. Mais, à l'inverse, quand ils déplaisent aux entreprises, le coût politique est à peu près nul.

«Dans un tel contexte, que croyez-vous qu'ils soient naturellement portés à faire?»

LIBERTÉ OU OBLIGATION?

Idem pour la formule Rand. Nous vivons dans un pays libre, personne ne devrait être obligé de joindre les rangs ou de participer au financement d'une association qui ne l'intéresse pas.

Ça tombe sous le sens. Or, c'est quand, la dernière fois qu'on a mis la pertinence de la formule Rand «sur la table?»

Juste y penser est un crime de lèse-majesté. Pourtant, la Charte canadienne des droits et libertés (le

document le plus important au pays) stipule noir sur blanc que la liberté d'association est un droit fondamental.

Si on a le droit de s'associer, on devrait avoir le droit de ne pas s'associer, non?

Sinon, voulez-vous me dire pourquoi on appelle ça la LIBERTÉ d'association?

La LIBERTÉ n'exige-t-elle pas une volonté, un désir? On devrait appeler ça: l'OBLIGATION d'association. Ça serait plus juste.


 http://www.canoe.com/infos/chroniques/richardmartineau/archives/2010/01/20100123-093631.html

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jeudi, janvier 21, 2010

Le génie existe encore au Québec

Merci à  Joanne Marcotte de m'avoir fait découvrir cette délicieuse pub de la Fédération des médecins spécialistes du Québec.

http://www.fmsq.org/rencontre_economique2010/pub.pdf

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Raymond Bachand n'exclut pas de hausser la TVQ de 2 points au lieu d'un seul.

En entrevue avec Sylvain Bouchard du FM93 (93,3, FM, Québec) ce matin




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Et si nous nous posions d'autres questions pour l'avenir du Québec - Pierre-Karl Péladeau


Et si nous nous posions d'autres questions pour l'avenir du Québec - Pierre-Karl Péladeau

Le Journal de Québec, 21 janvier 2010, page 19


Aujourd’hui se tiendront des discussions sur l’avenir du Québec dans le cadre de la « Rencontre économique 2010 » sous la présidence du premier ministre du Québec, où doit être abordé le sujet des meilleures conditions pour que le Québec puisse profiter pleinement de la reprise économique.

Nul ne doute que l’heure est venue où la société québécoise doit faire des choix déterminants pour les générations futures.

Il nous semble toutefois que pour prendre des décisions éclairées à cet égard, il nous faille aborder une problématique d’importance qui ne manquera pas d’intéresser l’une des parties au débat, soit les organisations syndicales.

Sans vouloir remettre en cause ni leur existence ni même encore l’apport plus que positif de ces organisations au cours du XXe siècle, nous nous devons de poser la véritable question du déséquilibre des forces que toutes les législations des dernières décennies ont créé entre employeurs et syndicats, lequel a eu et a plus que jamais comme conséquence de défavoriser les entreprises québécoises dans le contexte économique mondialisé dorénavant largement répandu, de rendre plus difficile l’émergence de jeunes entrepreneurs, ainsi que de pénaliser notre désir collectif, voire notre obligation d’accroître notre productivité afin d’être en mesure de faire face aux nombreux défis auxquels nous ont sensibilisés les commentateurs économiques et sociaux.

Au XXIe siècle, alors que la liberté est tout autant une valeur qu’une vertu cardinales, n’est-il pas légitime de nous permettre, comme citoyens bénéficiant d’une maturité politique et démocratique, de décider si nous voulons ou non faire partie d’une organisation syndicale et d’en payer les cotisations? Ne devrions-nous pas nous inspirer de pays comme la France à cet égard où la liberté d’adhésion syndicale est consacrée? Ne devrions-nous pas aussi nous interroger sur ce privilège qui permet aux employés en conflit de travail de ne pas payer d’impôt sur les prestations monétaires qu’ils reçoivent de leurs syndicats, mesure exceptionnelle parce qu’elle fait financer les positions des organisations syndicales par l’ensemble des contribuables déjà assujettis à un fardeau fiscal que tous reconnaissent parmi les plus lourds du continent?

Que dire aussi de la création d’une unité d’accréditation par la simple signature de cartes d’adhésion, système que l’administration Obama et les démocrates aux États-Unis sont en train d’abandonner malgré un soutien financier considérable des syndicats américains?

Il se trouvera certainement plusieurs membres de l’intelligentsia pour justifier l’action positive des syndicats au Québec. Je le répète, nous reconnaissons le rôle nécessaire d’organisations structurées de militants ouvriers qui ont permis aux Québécois de se libérer de l’assujettissement à un capitalisme sauvage et de bénéficier de conditions de travail décentes. Mais n’est-il pas temps de se demander si les remèdes d’hier sont ceux qu’il nous faut pour les maux d’aujourd’hui et de demain?

Tous ces beaux penseurs ont-ils déjà été confrontés à la réalité de dirigeants d’entreprises et d’entrepreneurs comme celle à laquelle mes collègues et moi faisons face de façon quotidienne, tant au Canada qu’à l’étranger, dans un contexte de concurrence mondiale? Au Québec, les dirigeants d’entreprises doivent dédier trop de temps, d’énergie et d’argent à gérer leurs « relations de travail » alors qu’ailleurs, les divers intervenants au sein des entreprises participent ensemble à assurer la poursuite du développement de leurs activités et l’accroissement de leur productivité afin de gagner sur les marchés mondiaux, tant dans les secteurs manufacturiers que dans les secteurs de l’économie du savoir et des technologies.

Alors que les syndicats sont devenus au Québec une force économique aussi puissante qu’indéniable, tel qu’en fait foi notre taux de syndicalisation autour de 40 % qui s’avère le plus élevé en Amérique du Nord, pourquoi ces organisations devraient-elles bénéficier de privilèges aussi nombreux et de moins en moins justifiables dans un contexte où la transparence et l’imputabilité ont, à juste titre, envahi l’ensemble des sphères politiques et économiques? Les défis mondiaux auxquels nous faisons face nous obligent à ne plus avoir de craintes à soulever les questions incontournables auxquelles il faudra répondre adéquatement pour assurer l’avenir du Québec.







Si c'était une femme, elle serait démissionnée drette là

Le nouveau sénateur du Massachussets en 1982 alors qu'il étudiait en droit.

Senator Is the Centerfold


Long before he was a politician, the Republican candidate vying for Ted Kennedy’s U.S. Senate seat posed nude for the centerfold of Cosmo. Scott Brown won our “America’s Sexiest Man” contest and appeared in the June 1982 issue. In those days he was a 22-year-old law student at Boston College who was cramming for finals just days before stripping down for our photographer.
“Here at Cosmo we’ve had bachelors go on to be actors, models, and reality show stars, so we’re thrilled that one has gone on to become a politician,” says Kate White, Cosmo’s editor in chief. Obviously we know how to pick ’em. This particular bachelor has always had political ambitions and even admitted to being “a bit of a patriot” when we interviewed him.
Compared to some men in the GOP, this politician looks pretty damn good for his age. We bet he still has an amazing body underneath his suit and tie. There have been plenty of pics of our president running around without his shirt, so now that a precedent has been set, we’re hoping to see Scott shirtless again.

Since we know the candidate so, ahem, well, we thought we’d help him out with a few campaign slogans:

Who Needs Joe Plumber When You Can Have Scott Six-Pack?
Scott Brown: A Name You Can Trust, Abs You Can Believe In
Vote for Brown. He Has One Hell of a Stimulus Package.

http://www.cosmopolitan.com/celebrity/news/scott-brown-nude-in-cosm


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mercredi, janvier 20, 2010

Se fendre en deux pour une médaille

http://www.youtube.com/watch?v=hwRGYRxRRHo

British bobsleigh rider bursting Lycra suit becomes internet hit
Shots of British bobsleigh rider Gillian Cooke bursting her skin-tight Lycra suit during a world championship event in Switzerland has become an internet hit.

Published: 10:23AM GMT 20 Jan 2010

Cooke's suit split as she bent over just seconds before jumping into the bobsleigh with her team-mate Nicola Minichiello for the two-woman event.
She seemed unaware of the technical malfunction however, despite the amusement of one of the officials, who was filmed laughing moments after the accident.
 Despite the slip up Cooke and Minichiello still managed to finish seventh at the championships which took place in St Moritz, Switzerland over the weekend.
The two British women are due to compete at the Winter Olympics in Vancouver, Canada next month and hope to add to their gold medal from last year's World Championships in Lake Placid.
Cooke is originally from Edinburgh and is the brakes woman for the bobsleigh which is driven by Sheffield-based Minichiello. No one from Team Minichiello was available for comment. Their website made no mention of the incident.


http://www.telegraph.co.uk/sport/othersports/winter-olympics/7033849/British-bobsleigh-rider-bursting-Lycra-suit-becomes-internet-hit.html

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Steven à Toutes les Sauces?

Quelqu'un peut me dire pourquoi RDI fait appel à Steven Guilbeault pour analyser la première année de Barak Obama à la présidence?


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mardi, janvier 19, 2010

Plus ça change... (soupirs)

Denis Lessard
La Presse

Le lieutenant gouverneur attendu

Le remplaçant de Lise Thibault au poste de lieutenant gouverneur refuse de venir témoigner devant une commission parlementaire de l'Assemblée nationale pour justifier ses dépenses.

Pierre Duchesne, nommé il y a deux ans, estime qu'il n'a pas à rendre de comptes au Parlement. Il avait consenti à témoigner en octobre 2008, mais il avait alors précisé que sa présence «ne doit pas servir de précédent ni constituer une renonciation aux privilèges reliés à ma fonction», avait-il écrit dans une lettre transmise le 15 janvier au secrétaire de la commission de l'administration publique.

Pour que le lieutenant gouverneur soit légalement imputable devant les élus, l'Assemblée nationale doit adopter une loi le précisant, indique-t-il. En point de presse mardi, la députée péquiste de Taschereau, Agnès Maltais, s'est dite estomaquée de cette réponse.

«Nommé il y a juste deux ans, M. Duchesne est contaminé par le lustre de sa fonction. Il essaie de se tirer un rang. comme on dit», a-t-elle lancé.

«Ce n'est pas la Reine d'Angleterre qui paie son salaire, ce sont les contribuables québécois. Il a des comptes à rendre aux contribuables et à leurs élus», de lancer Mme Maltais.

Lors de son assermentation, M. Duchesne, ancien secrétaire de l'Assemblée nationale, avait promis «transparence et sobriété», a-t-elle rappelé. En 2007, des rapports des vérificateurs généraux à Québec comme à Ottawa avaient conclu que son prédécesseur Lise Thibault avait fait 700 000 $ de dépenses injustifiées en dix ans. Des accusations de fraude et d'abus de confiance ont été portées depuis à l'égard de Mme Thibault. Son procès pourrait commencer à la fin de 2010.

http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201001/19/01-940717-le-lieutenant-gouverneur-attendu.php

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Joseph Facal reviendra-t-il en politique?

«Je ne sais pas.»
Facal

(Franchement Martineau, LCN, 19 jan. 2010)

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Oubliez «l’équilibre budgétaire». L’objectif, c’est «d’être heureux»!


Mots et maux de la politique
Antoine Robitaille
LE DEVOIR
19 janvier 2010

image Le discours politique évolue vite, c’est le moins qu’on puisse dire:
• Premier acte, début août : congrès de la Commission jeunesse du Parti libéral. Extrait d’un reportage : «Les jeunes libéraux ont voté pour la hausse des tarifs des services publics afin d’assurer un retour à l’équilibre budgétaire. Des propositions que se garde d’appuyer ouvertement le premier ministre Jean Charest, qui ne leur ferme pas pour autant la porte.» Jean Charest a assuré que «le retour à l’équilibre budgétaire serait au coeur des débats à l’Assemblée nationale cet automne».
• Deuxième acte, fin août : au terme d’un caucus présessionnel, Jean Charest dit vouloir «convier ”le plus grand nombre de Québécois possible” à un ”grand dialogue” sur le sujet du retour à l’équilibre budgétaire». À l’époque, on se demande si ce sera un «sommet» de type péquiste (1982, 1996) ou un grand événement du genre «Forum des générations» (2004)?» Tout l’automne, le gouvernement répète que la formule n’a pas été précisée.
• Troisième acte, janvier 2010 : on annonce ni un sommet, ni un forum, ni un grand dialogue, mais bien une «rencontre économique» avec discours du PM de 20 minutes, un cocktail et une journée à huis clos. Et en annonçant cela, plus tôt aujourd’hui, le ministre des Finances Raymond Bachand regarde la caméra et lance, très sérieusement : «La finalité, ce n’est PAS d’équilibrer le budget. La finalité, c’est d’ÊTRE HEUREUX COMME PEUPLE, d’avoir une croissance économique et de gagner à court terme, et de gagner à long terme.» Est-ce une version québécoise de Don’t Worry, be Happy?

http://carnetsdudevoir.com/index.php/motsetmaux/commentaires/oubliez_lequilibre_budgetaire_lobjectif_cest_detre_heureux/ 

Système de santé : Un million $ en libérations syndicales

par Éric Yvan Lemay
Le Journal de Montréal
19/01/2010

Le Centre universitaire de santé McGill est l'établissement qui compte le plus d'heures de libérations syndicales au Québec et de loin. L'an dernier, c'est plus de 53 000 heures de travail qui ont été passées pour des dossiers syndicaux, pour un total dépassant largement le million $ en salaires.

Selon les données obtenues par le Journal en vertu du droit d'accès à l'information, les syndiqués ont été libérés 53 383 heures pour l'année 2008-2009, soit 6000 heures de plus que l'année précédente. Les libérations syndicales servent entre autres à participer à des rencontres de négociation, des comités paritaires, préparer des dossiers d'employés ou encore des activités de mobilisation.

À titre indicatif, si un employé travaille en moyenne 200 jours par année, à sept heures par jour, cela représente l'équivalent de 38 employés à temps plein.

En 2003, alors que les libérations syndicales représentaient l'équivalent de 30 emplois, on avait estimé que cela représentait des coûts d'environ un million. Ce chiffre avait été avancé par le directeur général adjoint du CUSM, Normand Rinfret, dans le cadre de l'étude du projet de loi 30 et l'organisation des unités de négociation.

Ce dernier prônait une réduction du nombre d'unités d'accréditation pour réduire les coûts. «À moyen et à long terme, je pense qu'on va pouvoir être en mesure de peut-être rediriger des argents pour mieux prendre soin de nos patients. Du moins, je l'espère !»

En entendant le montant, le ministre de la Santé, Philippe Couillard, s'était lui aussi demandé à voix haute si ces fonds ne pourraient pas être utilisés autrement. «Donc, des sommes qui actuellement sont, entre guillemets, attribuées à l'organisation du travail, qui pourraient être redirigées vers les services directs à la population», avait-il dit.

Il semble bien que les coûts n'aient pas diminué de façon importante. Selon un relevé effectué par le Journal auprès des 11 plus gros hôpitaux de la province, c'est 319 883 heures qui ont été octroyées en libérations syndicales en 2008-2009.

228 emplois à temps plein

Seulement pour ces établissements, cela représente l'équivalent d'environ 228 employés à temps plein.

Après le CUSM, c'est le CHUM qui compte le plus de libérations syndicales, avec l'équivalent de 32 employés à temps plein. Il s'agit d'un résultat semblable au Centre hospitalier universitaire de Québec, qui comptait un peu plus de 43 000 heures de libérations.

(En collaboration avec notre recherchiste à Québec, Serge Laplante)

* L'employeur paie une partie des libérations syndicales, le reste étant assumé par le syndicat lui-même.

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/01/20100119-074200.html

lundi, janvier 18, 2010

Et si un jour on inventait un sac?

La nécessité est la mère de l'invention, dit-on.

Il y a quelques décennies, pour se moucher, la majorité des gens utilisait le mouchoir en coton, lavable et réutilisable.
Avec l'avancement de la science, on s'est aperçu que ce petit bout de chiffon était bien peu hygiénique, même si on le lavait minutieusement. Il rendait même les gens malades.

En 1926, la société Kimberly-Clark inventa le papier-mouchoir, le Kleenex. Totalement jetable, 100 % hygiénique. Aujourd'hui, les mouchoirs de coton sont réduits au rôle de simple accessoire.

Au XXIe siècle, pour faire nos emplettes, on nous impose le sac réutilisable. Beau, solide, multicolore, mais, on oublie souvent de nous le rappeler, peu hygiénique.
Le jus de poisson se mêle au sang du rosbif au fond du sac quand on le ramène à la maison, cette mixture fermente durant la nuit, et c'est sur cette purée peu alléchante qu'on mettra demain notre pain tranché et notre casseau de fraises des champs!

Faut les laver. Après chaque utilisation. Avec du savon. Du savon aux phosphates. Pour que bébé ou grand-mère n'avalent pas de la soupe aux bactéries. Au nom de l'environnement.

Comme si on revenait au temps des mouchoirs en coton. Qui rendaient les gens malades.

Vous voyez le topo?

Alors moi, je vais vous faire une prédiction.

Moi, je vous prédis qu'un jour, un gars, plus brillant que nous, quelque part, dans sa cave, va inventer un sac.
Un beau sac en papier. Opaque. Avec le nom d'un commerce dessus. Ou en plastique. Transparent. Biodégradable. Hygiénique. Et... jetable. Comme les Kleenex. La nécessité n'est-elle pas la mère de l'invention?

Et je vois tous les supermarchés en offrir. Gratuitement. À tous leurs clients. Au nom de la santé publique. Et les gens pourront même s'en servir comme sac-poubelle. Et tout le monde sera content. Et en santé!

Et les gens n'auront plus à retourner fouiller dans la malle arrière de leur voiture à chaque voyage à l'épicerie parce qu'ils y auront oublié leurs précieux sacs jetables. Et peu hygiéniques. Qui ne servent finalement qu'à promener des microbes.

Notez la date. Je vous l'aurai prédit.

;-D

Le Québec en chiffres : syndicalisme sous Duplessis et Révolution Tranquille

http://geloso-breguet.blogspot.com/2010/01/le-quebec-en-chiffres-syndicalisme-sous.html


lundi 18 janvier 2010 by Vincent Geloso






Trop, c'est souvent comme trop peu

Voici la liste organismes de charité pour Haïti enregistrés auprès du gouvernement fédéral.

77 au total.

Des dizaines de petits organismes opérés chacun par une poignée de personnes qui seraient certainement plus efficaces s'ils étaient regroupés. 

http://www.cra-arc.gc.ca/ebci/haip/srch/basicsearchresult-fra.action?s=%20&k=haiti&b=true&f=25&p=1#pageControl

Suggestion intéressante

J'ai trouvé cette intéressante suggestion de monsieur Luc Blanchette sur la page Facebook de Les Analystes:

Il faudrait proposer à Jean Charest, puisqu'il chiale contre l'exploitation des sables bitumineux dans l'Ouest, de renoncer à la Péréquation en 2010, pour la retourner aux gens d'Haïti, qui en auront bien plus besoin de nous en ce moment, et qui doivent se foutre pas mal des accords de Kyoto. On verrait bien si Charest et sa gang de Clowns n'ont pas besoin du pétrole de l'Ouest !

Bonne idée, monsieur Blanchette.

C'est une nouvelle, ça?

C'est une nouvelle, ça? Le Canada est un des pays qui a le mieux traversé la crise, et c'est en grande partie grâce au travail du ministre Flaherty. Pourquoi on fait un titre avec le fait qu'il reste en place?

Remaniement à Ottawa: Flaherty conserverait son poste

18 janvier 2010
LA PRESSE CANADIENNE

La rumeur est persistante à Ottawa à l'effet que le premier ministre Stephen Harper s'apprêterait a remanier son cabinet, dès cette semaine, possiblement mardi.

 Selon certaines sources, au moins cinq ministres changeraient de portefeuille, mais aucun député d'arrière-banc n'accéderait au cabinet. Ainsi, le député de Beauce, Maxime Bernier, devrait encore patienter avant de reprendre une fonction ministérielle.

Les ministres des Finances, Jim Flaherty, et de la Défense nationale, Peter MacKay, conserveraient leur poste.

Samedi, le ministre des Anciens combattants, Greg Thompson, a annoncé sa démission. Son poste devra donc être comblé.

Stephen Harper serait aussi prêt à nommer cinq nouveaux sénateurs. Les libéraux détiennent actuellement une majorité de trois sièges au Sénat.

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/canada/archives/2010/01/20100118-075749.html

UN MUST : Les Analystes

Faites-vous un devoir de consulter ponctuellement le blogue «Les Analystes»:

http://lesanalystes.wordpress.com/

Des gens au jugement irréprochable, on en conviendra...he-he-he

http://lesanalystes.wordpress.com/2010/01/18/bienvenue-sur-la-blogosphere-daniel/

dimanche, janvier 17, 2010

Une façon sobre de souligner l'événement

Le parlement d'Ottawa prend les couleurs d'Haïti


Tiens, un truc que j'ai pondu il y a quelques années

Le talent n'attend pas le nombre des années...

Un p'tit gars de la ville, Vincent, s'installe un jour à la campagne, et achète une vache d'un fermier pour 100.00 $.
Le fermier accepte de livrer la vache le lendemain matin.
Le lendemain, le fermier se présente et dit:
"Désolé, jeune homme, mais j'ai des mauvaises nouvelles, la vache est morte."
Vincent répond :
"Pas de problème, vous n'avez qu'à me redonner mon argent"
Le fermier réplique:
"Je ne peux pas, j'ai déjà dépensé l'argent"
Vincent dit:
"OK, alors, donnez-moi la carcasse de la vache."
Le fermier s'étonne:
"Que vas-tu faire avec?"
Vincent:
"Je vais faire une loterie pour la faire tirer"
Le Fermier: "Tu ne peux pas faire tirer une vache morte!?!"
Vincent: "Bien sûr, que je peux le faire. Je n'ai qu'à ne pas dire aux gens qu'elle est morte."
Un mois plus tard, le fermier rencontre Vincent, et lui demande: "Que s'est-il passé avec la vache morte?"
Vincent: "Je l'ai faite tirer. J'ai vendu 500 billets à deux dollars chacun, et j'ai fait un profit de 898.00 $."
Le Fermier: "Et personne ne s'est plaint?"
Vincent: "Seulement le gars qui a gagné. Et lui, je lui ai remboursé ses deux dollars"
Le jeune Vincent a grandi, et il devint le président-fondateur de Norbourg...

 

Je vous gage 25 cennes!

Pourquioi suis-je certain qu'on verra sous peu un spécial Haïti au Banquier, avec un participant de cette origine, et promesse de Julie d'égaler le montant récolté et de l'envoyer la-bas...


Je vous gage un 25 cennes la-dessus...